Gabriel Fauré voulait à tout prix éviter que son Requiem résonne de façon trop dramatique ; il a donc veillé à donner un ton optimiste à son œuvre. Le ton empli d’espoir de l’œuvre a frappé ses contemporains. D’après Fauré, quelqu’un a qualifié à juste titre son Requiem de ‘berceuse de la mort’ : la mort comme mythe d’un bonheur paradisiaque dans l’au-delà.
Avec Rédemption, fresque vocale aux élans wagnériens, le Liégeois César Franck décrit l’impitoyable combat du matérialisme et de la spiritualité, au terme duquel triomphe le message du Christ rédempteur.